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Bienvenue à notre Amie Christine L'amie Christine a laissé son fief du Tarn et Garonne et son Doudou (Didier), pour venir passer une dizaine de jours au Portugal. Nous sommes donc allés la quérir toujours souriante à la descente de la soucoupe volante EasyJet à l'aéroport de Porto. Dès notre arrivée à la maison vers le 18 heures 30, le temps de l'installation, nous voila un verre de Caïpirinha à la main, particulièrement apprécié par Christine. Les retrouvailles entre les deux copines sont toujours très....joyeuses, un peu de musique portugaise et les voila à danser dans le salon, avant de jeter un sort au plat de lasagne amoureusement préparé par Domi, pour l'occase. Les fameuses Lasagnes Nous avions envisagé quelques belles sorties, mais aussi quelques virées plus ou moins classiques dans Aveiro comme d'aller se désaltérer à L'AutocarroBar un Café-Bar-Brasserie, avec terrasse sous les arbres, de quoi passer un bon moment. Cette brasserie proche de l'université (ben oui!) très prisée à Aveiro a été construite autour d'un bus anglais. Où d'aller, à coté de chez nous, dévorer une pizza chez le meilleur pizzaïolo d'Aveiro. ou encore, aller sur la place d'Aveiro, en fin de soirée nous délecter d'une super glace.... Nous avons aussi profité de belles journées ensoleillées pour aller marcher un peu sur la plage de Costa Nova et de Barra et mettre seulement les pieds dans l'eau de l’Atlantique (Brrrrrrr). Et même qu'après une petite promenade dans le Parc d'Aveiro, sous les grands arbres, nous avons été nous goinfrer de sardines grillées au CAMELO sur la plage de Vagueira. Les sardines du "Camelo" sur la plage de Vagueira Une compétition de Rummikub juste avant la Caïpirinha du soir...
Afin de nous reposer un peu, nous sommes partis trois jours dans les
régions de Lisbonne, et de Leiria où nous avons visité
successivement: Obidos, Sintra, Azenhas do Mar, Péniche et
Nazaré. OBIDOS
En descendant vers Sintra, nous avons fait une halte à Obidos, car
nous ne pouvions pas nous passer et faire connaitre à Christine,
la
liqueur ancestrale
"La Ginja d'Obidos" dans sa coupelle en chocolat, une
spécialité de la ville à base de liqueur de griotte. Il n'y a pas de meilleur exemple de ville traditionnelle portugaise que Obidos. La liqueur de Ginja (griotte) servie dans des coupelles en chocolat. Dès notre arrivée, et le voyage nous ayant creusé un peu l'estomac, nous partons a la recherche d'un petit resto au fil des rues, tranquille et surtout à l'ombre, car il doit au moins faire.... pffffff, 70 degrés. Bien évidemment, nous trouvons le resto idéal près de l'ancien Aqueduc, avec sa petite terrasse bien ombragée ou on sert des morceaux de porc cuit dans la graisse et des poulpes grillés avec des petites patates sautées. Avec un bon 50 cl de Super Bock, que chercher de plus... Bon, bien, d'accord !!!!! nous avons laissé le régime au garage pour quelques jours L'Effet SUPER BOCK Ensuite c'est sous une chaleur torride que nous faisons (avec la clim) le reste de chemin qui doit nous amener à Sintra, pour prendre possession de notre appartement/hotel (enfin bon on ne va pas y revenir) SINTRA Après avoir pris nos marques, et posé les valises, nous prenons un petit apéro sur la "terrasse" c'est à dire devant la porte, avant d'aller passer au choses sérieuses du soir : Le repas dans le centre historique. Toujours avec l'aide de notre ami Tripadvisor, nous avions choisi un des meilleurs restaurants et bien noté de Sintra. Nous l'avons bien trouvé.... Mais il était...... Ferméééééééé et définitivement. Encore merci (TripAdvisor, t'as un gros problème).... Bref, nous partons donc à la recherche d'un autre resto et ce n'est pas ce qui manque dans le centre historique de Sintra. Après consultation des menus , nous jetons notre dévolu sur une TAVERNA : belle réception, sur une petite terrasse, la picanha excellente, un bon vin du Dao, et quelques bougies pour la soirée. Après le repas nous trainons un peu à la fraiche sur la place du Palacio de Sintra et de ces deux curieuses cheminées. Très probablement construit sur les fondations de la résidence des chefs musulmans, lors de l'invasion de la péninsule Ibérique vers 700. Il fut le palais des rois portugais dès l'époque de la Reconquête chrétienne du VIII° siècle. C'est cependant à Don João I (1356-1433) et à Manuel Ier (1469-1521) que l'on doit les grands travaux qui ont donné au palais l'aspect général qu'il présente aujourd'hui. Ébranlé par le grand tremblement de terre de 1755, il fut aussitôt reconstruit « à l'ancienne ». Devenu musée en 1940, le palais a gardé une partie du mobilier du temps des derniers rois. Le lendemain, nous partirons à l’assaut du Palais da Pena. PALACIO DA PANA Le Palais de Pena est situé sur l’une des cimes de la Serra de Sintra, au cœur d’un magnifique parc de 200 hectares. Il se caractérise par ses couleurs vives, jaune et rouge. On le doit au prince Ferdinand de Saxe-Cobourg-Gotha, (régent du royaume), d’origine allemande et portugais d’adoption à la suite de son alliance avec la reine Maria II. En 1839, après avoir racheté les ruines d’un monastère hiéronymite du XVe siècle, ce même souverain confie l’édification de son palais d’été au baron Ludwig von Eschwege. Celui-ci mélange allègrement les styles architecturaux (mauresque, baroque, gothique, renaissance et manuélin) afin de livrer un bâtiment exubérant et haut en couleurs, mais qui conserve toutefois quelques parties de l’ancien monastère. La construction, commencée au milieu du XIX° siècle, ne s’achève qu’en 1885, année de la mort du roi. Après la proclamation de la République, en 1910, l’édifice, devenu propriété de l’État, est conservé tel quel et ouvert au public. On pénètre dans le palais par une porte mauresque menant à une cour intérieure ; dans celle-ci, on peut trouver un arc de triton, décoré de détails néo-manuélins. Si le temps le permet, les différents balcons offrent des vues panoramiques sur la côte Atlantique et le Tage. Pour ne pas se perdre, nous suivons le bus qui monte jusqu'à l'entrée du parc. Nous prenons les billets (au tarif réduit pour les séniors) et la navette qui va nous transporter au palais. D'énormes Fougères Une Super bock et un petit sandwich vers 13 heures Nous n'avons malheureusement pas eu le temps de visiter les intérieurs. Une petite promenade dans le parc, et il faut redescendre de la montagne par la même route tortueuse à travers une forêt très dense. Au passage nous avons une superbe vue sur le Château des Maures, ou n'irons pas car il faut marcher plus d'une heure et sous le soleil. Par contre nous aurons la chance de le voir illuminé le soir en allant diner toujours dans le centre de Sintra. Avant le diner, nous avons le temps de partir sur le bord de l'Océan voir un petit village typique. AZENHAS DO MAR Un joli petit village, accroché à la falaise avec une petite plage et une piscine Océanique qui se rempli d'eau salée lors de chaque marée. Cette plage reste assez méconnue des touristes car elle est presque invisible de la route. Sur le retour vers Sintra, nous nous sommes arrêtés dans une petite pastelaria sympa pour se rafraichir un peu le gosier, et qui offre en même temps aux passants, des tables extérieures ombragées et des barbecues pour faire sa propre dinette. C'est bon à savoir. Pour rentrer à Aveiro nous avions convenus de faire la visite de Péniche et de Nazaré. Donc notre premier arrêt fut le Cabo Carvoeiro situé au bout du bout de la presqu'ile de Péniche. PENICHE La péninsule de Péniche est assez particulière sur le plan climatique, car elle est entourée par l'Océan au Nord à l'Ouest et au sud ce qui en fait la partie la plus fraiche du Pays en été. On est aussi surpris par la diversité des falaises fortement érodées. C'est un domaine préservé d'une belle importance géologique, et par temps clair nous apercevons au loin l'archipel des Berlengas. Au loin L'Archipel des Berlengas (en portugais Arquipélago das Berlengas) qui est un groupe d'îles granitiques situées à une dizaine de kilomètres du cap Carvoeiro. Berlenga Grande, l'île principale, fait environ 1,5 kilomètre de longueur pour 0,8 kilomètre de largeur avec une altitude maximale de 85 mètres. Elle abrite un fort et un phare. Deux autres îles, l'île Estela et Grande Farilhão, donnent également leur nom aux deux sous-archipels des Berlengas. L'archipel des Berlengas fut la première aire protégée du pays puisqu'en 1465, le roi Alphonse V du Portugal, y interdit la pratique de la chasse dans l'île principale de Berlenga Grande. Depuis le , une partie de l'archipel est devenue une réserve naturelle. Le Conseil de l'Europe a classé cet archipel comme réserve biogénétique en 1988. Sur l'ensemble des îles, on trouve des espèces végétales endémiques. Il s'agit également d'un lieu de prédilection pour la nidification des oiseaux marins de la région. La réserve a obtenu en 2011 le titre de réserve de biosphère par l'UNESCO. Farol do Cabo Carvoeiro, (25 m de hauteur) Le restaurant du bout de la péninsule, ou vous pouvez manger sur une terrasse sur la falaise et face à l'océan... Après il n'y a plus rien.(que de l'eau) Nous voila de retour à Sintra et devinez pourquoi.... le diner bien entendu! mais surtout pour fêter l'année supplémentaire de Domi et l'anniversaire de notre Casamento (mariage). Nous avons ce soir, choisi l'intérieur d'un restaurant car la nuit le temps est plus frais sur la montagne. Une bonne carafe de Sangria, quelques olives à l'ail et petit fromage de brebis pour nous préparer les papilles, suivi d'une bonne picanha avec riz et haricots noirs en sauce, frites, et bien entendu la salade. Nous entonnons le chant d'anniversaire pour Domi, et tout le restaurant se met à chanter. De plus Domi aura droit à son petit gâteau et la bougie (non commandé) gracieusement offert par le restaurant. Les desserts Le gâteau d'anniversaire avec sa bougie, accompagné de trois verres de Ginja d'Obidos et préparé par le serveur en catimini. De plus nous avons fait la connaissance d'une charmante Québécoise de Shawinigan, ou nous passerons d'ailleurs en septembre. Bien sur, nous remettons une tournée de Ginja, en incluant notre nouvelle amie québécoise et les deux serveurs qui se sont occupés de notre table. Il faut rentrer à la Maison. Nous reprenons la route vers Aveiro pour nous rendre à Nazaré, le pays des surfeurs. Mais comme nos estomacs commençaient à crier famine nous nous sommes arrêtés dans un bon petit restaurant au bord de la magnifique plage pour prendre un bon déjeuner poisson. Quelques polvos avec beurre et pain à l'ail pour l'entrée, et ensuite chacun sa sole grillée. NAZARE Dans les années 1960, le tourisme s’est développé et Nazaré a commencé à être connue internationalement, notamment à cause de son spot de surf où a été surfé la vague la plus haute du monde. La hauteur de ces vagues qui peuvent atteindre jusqu'à 30 mètres devant la Praia do Norte, s'explique par le canyon sous-marin de 5 kilomètres de profondeur à son point le plus bas qui remonte du fond de l'océan sur 210 kilomètres avant de se refermer à quelques encablures de la côte, près du Promontio de Sitio, falaise haute de 110 mètres. Quelques étals de poissons séchés directement au soleil sur la plage et vendus par des Mamies en costume local qui nous interpellent en nous disant "Muito bom senhor....muito bom" et n'hésitent pas à vous faire gouter.... Ensuite nous montons évidemment au SITIO, au sommet de la falaise, pour admirer la vue sur l'océan et sur la ville et son immense plage. Entre rires et bonne humeur, nous avons passé 10 jours formidables tout en voyant de belles choses durant ces 3 belles journées. Le séjour se termine pour Christine, donc un petit coup de carrosse pour l'aéroport de Porto et la mettre dans un bel avion, afin qu'elle retrouve son village en Gaule et surtout ..... son DOUDOU.
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A proxima vez Christine, mas, com o senhor Didier. |